Depuis notre première rencontre avec « L’heure des fous », je suis littéralement tombée sous ton charme. Tu n’as pas ton pareil pour me faire rire et m’émouvoir. Les émotions que tu dégages dans ta prose sont le reflet d’un humanisme profond et d’une intelligence hors du commun. Ton sens de l’humour est un plaisir de chaque instant, rappelant les dialogues de ces films d’Audiard qui me font tant rire.
Tu as éparpillé façon puzzle, mon petit cœur de lectrice. Dynamitée, ventilée la Nath !
Dans ce dernier opus que je viens d’achever, tu réussis à nouveau à me surprendre en insufflant plus de violence, plus de noirceur que dans les précédents. Comme si la légèreté s’envolait en même temps que la fumée des gauloises de Mehrlicht. Comme si le sérieux de la vie reprenait ses droits.
Une vraie évolution qui tend vers plus d’émotions avec des personnages dont la profondeur prend de l’ampleur. Comme s’ils revendiquaient leur indépendance, goûtant à une émancipation que tu guiderais avec l’amour et la bienveillance d’un père.
L’ami que tu es transpire à travers tes pages où tu rends même hommage à tes camarades d’écriture. L’amitié masculine est plus forte, plus fidèle, plus sincère que celle que les femmes ont entre elles. Daniel et Jacques en sont le reflet et cette belle apologie de la tendresse illumine chacune de tes histoires.
L’impression que tu recherches la perfection est palpable. Tes mots sont triés sur le volet, choisis avec exigence, placés avec soin. Conteur et poète, voilà ce que tu es Nicolas.
Coluche a dit que de tous ceux qui n’ont rien à dire, les plus agréables sont ceux qui se taisent. Que tous les humoristes se tiennent la main et fassent en sorte que tu ne le fasse jamais…
Donc voilà, je me décide enfin à te déclarer ma flamme. Je prends mon courage à deux mains et je mets un genou à terre pour te faire ma demande. Nicolas, veux tu faire de moi ta lectrice légitime et ta chroniqueuse fidèle ? Acceptes-tu que j’aime ta prose et ce, jusqu’à ce que mort (de rire) nous sépare ? Je ne sais comment te dire à quel point tu ferais de moi une fan heureuse si tu acceptais. 😉
Humeur musicale
Nicolas a aussi de très bons gouts en matière de musique 🙂 J’ai fouillé un peu, voilà un de ses groupes préférés:
4ème de couv’
9 novembre, cimetière du Montparnasse. Le capitaine Mehrlicht assiste, en compagnie de son équipe, aux obsèques de son meilleur ami, Jacques Morel. Quelques heures plus tard, il se retrouve dans le bureau d’un notaire qui lui remet, comme « héritage », une enveloppe contenant un diamant brut. Il s’agit de l’un des yeux d’une statue africaine, le Gardien des Esprits, dérobée dix ans auparavant lors du déménagement du Musée des arts africains et océaniens, que Jacques avait supervisé, et recherchée depuis par la « Police de l’Art ». Merlicht prend un congé et son équipe se retrouve sous le commandement du capitaine Cuvier, un type imbuvable aux multiples casseroles, quand les inspecteurs Latour et Dossantos sont appelés sur la scène de l’apparent suicide d’un retraité. Quelques heures plus tard, ils assistent impuissants à la défenestration d’une femme qui, se sentant menacée, avait demandé la protection de la police. Les deux « suicidés » avaient un point commun : ils travaillaient ensemble au MAOO lors de son déménagement. Ces événements marquent le début de 48 heures de folie qui vont entraîner Mehrlicht et son équipe dans une course contre la montre, sur la piste de meurtriers dont la cruauté et la détermination trouvent leur origine dans leur passé de légionnaires. Une enquête sous haute tension, dans laquelle débordent la fureur et les échos des conflits qui bouleversent le monde en ce début de XXIe siècle.
Marabout, Septembre 2015
Catégories :Lebel Nicolas
Je vois que tu es Lebelisée aussi!!! hihihihi
A fond! je l’adore 🙂
Ah mince maintenant, j’en ai marre j’ai une fois sur deux tes nouvelles publications!!!!ca m’énerve!!!!!
Bon treve de marronage…..
J’adoooooooooooooooore ta chronique, et purée quelle déclaration!!!!A genoux en plus madame!!!!!!mdr
Bon faut vraiment que je lise cet auteur de toute urgence, car ton appel est sensible à mon oreille!!!!;)
Trop forte , je pense que l’auteur va kiffer à mort!!!!;)
Je suis extrêmement sensible à la poésie qui se dégage de ses livres. J’adore Fred Vargas et Nicolas Lebel est dans la même veine. Dont acte 🙂
Je suis très curieuse de savoir comment tu vas apprécier et surtout commence par L’heure des fous! 🙂
Il a kiffé au fait 😉
Mince alors ! D’abord il éparpille ma Nath en morceaux et ensuite elle se met à genoux pour lui. Ce mec à des pouvoirs magiques ! 😉
en même temps, je suis très vite éparpillée, tu me connais…. lol
Bien d’accord avec Smadj: sacrée déclaration !
parce qu’il le vaut bien 🙂
Quelle belle déclaration d’amour 🙂
que veux tu… je kiffe ce mec! 😉
Je te comprends 😉
à quand ta déclaration ?? 😉
C’est toi l’amoureuse :p
oué une éternelle et ça me perdra! lol
Ca ne perd jamais 😉
on en débattra une autre fois 😉
Quand tu veux 😉 Le sujet m’inspire ^^
ouille! t’es dans la merde! hihi
mais je parlais de ta déclaration pour Nicolas! drrr
J’avais compris loool 😉
des fois que tu fasses ta blonde… lol
mdrrrr
C’est fait d’ailleurs va lire mon com sur ton article publié chez Collectif Polar 😉
roooo c’est trop mignon!!