Eljundir Myra

Myra Eljundir, Kaleb

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4ème de couv’

Kaleb

Kaleb

C’est si bon d’être mauvais…
SAISON 1.
À 19 ans, Kaleb Helgusson se découvre empathe : il se connecte à vos émotions pour vous manipuler. Il vous connaît mieux que vous-mêmes. Et cela le rend irrésistible. Terriblement dangereux. Parce qu’on ne peut s’empêcher de l’aimer. À la folie. À la mort.
Sachez que ce qu’il vous fera, il n’en sera pas désolé. Ce don qu’il tient d’une lignée islandaise millénaire le grise. Même traqué comme une bête, il en veut toujours plus. Jusqu’au jour ou sa propre puissance le dépasse et ou tout bascule… Mais que peut-on contre le volcan qui vient de se réveiller?

Humeur musicale

L’Islande nous a offert Bjork et c’est pas rien!

 

Mon avis

Sous le masque….Ingrid

Il y a quelques mois, bon nombre de lecteurs se demandaient qui était Myra Eljundir. livre-sculpture-volcanMystérieuse auteure francophone vivant en Islande, elle se serait volontairement isolée à cause de sa trop grande empathie…Et puis vint le Salon du livre de Poche de St Maur et Myra enleva son masque ( en l’occurrence, son casque de moto ) et dévoila sa véritable identité. Sous le casque, Ingrid Desjours, auteure montante et très talentueuse de polar made in France.

Myra est donc Ingrid. Ingrid est donc Myra. Laquelle des deux est la jumelle maléfique de l’autre, elle seule est capable de répondre à cette question mais c’est avec ce nom de plume islandais, qu’Ingrid s’attaque à un lectorat « jeunesse ».

A l’instar des Hunger Games et autres dystopies à la mode, Ingrid ( ou Myra?) surfe sur la vague « in » du moment. Une histoire originale, une communauté étrange et secrète, un pays mystérieux plein de volcans aux noms imprononçables et un héros « bad boy » qui devrait plaire aux jeunes filles en fleur : voilà le programme que réserve Kaleb. Entre autre choses, car cette série ne se résume pas à cette liste non exhaustive. Malgré un thème un tant soit peu cliché traitant de l’éternel combat entre le bien et le mal, Myra évite le manichéisme et on retrouve bien la plume d’Ingrid dans certaines scènes presque trop corsées pour des adolescents. Ceci dit, le livre étant déconseillé au moins de 15 ans, les jeunes un peu plus avertis y trouveront leur compte et seront préparés, arrivés à l’âge adulte, à lire Ingrid après avoir découvert Myra.

J’aime beaucoup Ingrid Desjours et j’étais très curieuse de découvrir Myra Eljundir. Sans doute ai-je quelques années en trop pour apprécier pleinement ce style de littérature mais j’y reconnais des qualités que j’aurais certainement adorées il y a 30 ans. Les « bad boys » ne me séduisent plus comme avant que voulez-vous, passé un certain âge on se penche un peu plus vers les « costumes-cravates » 😉

Je souhaite cependant longue vie à Myra, aussi longtemps qu’Ingrid le souhaitera…

4 réponses »

  1. Je vais faire comme Tonton moi…j’ai essayé mais impossible de m’accrocher à ce « mauvais garçon » !! Je suis trop vieille pis c’est tout!!!

A vot' bon coeur m'sieurs dames...

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